Société

Tunisie : Nous travaillons au rapatriement librement consenti des migrants irréguliers de Gambie

Tunisie : Nous travaillons au rapatriement librement consenti des migrants irréguliers de Gambie

La Tunisie a déclaré mardi qu’elle travaillait en coordination avec les organisations internationales pour renvoyer volontairement un certain nombre de migrants irréguliers gambiens vers leur pays, cela s’est produit lors d’une rencontre entre le ministre tunisien des Affaires étrangères Nabil Ammar et son homologue gambien, Mamadou Tangara, en marge de leur participation au symposium de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique, tenu lundi en Algérie, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères tunisien. Ministère tunisien des Affaires étrangères.

Selon le communiqué, Ammar a souligné que « les autorités tunisiennes continuent de travailler, en coordination avec les organisations internationales spécialisées, pour renvoyer un certain nombre de migrants irréguliers gambiens vers leur pays sur une base volontaire, et s’engagent à les traiter conformément à ce qui est en vigueur dictés par leurs lois nationales et leurs obligations internationales, le ministère tunisien des Affaires étrangères a ajouté qu’au cours de la réunion, Ammar et Tangara ont passé en revue « les relations bilatérales, notamment économiques, et les moyens de les développer dans divers domaines. Les discussions ont également porté sur le domaine de l’immigration et de la coopération consulaire », le ministère des Affaires étrangères n’a pas publié le nombre de migrants irréguliers gambiens en Tunisie.

La Tunisie souffre de la présence d’un grand nombre de migrants en provenance des pays d’Afrique subsaharienne qui souhaitent franchir les frontières maritimes vers l’Europe, dont la plupart sont concentrés dans la ville de Sfax, celle-ci étant non loin des côtes de Malte et de la Île italienne de Sicile, depuis quelque temps, le pays connaît une augmentation remarquable du rythme de la migration irrégulière vers l’Europe, en raison des répercussions des crises économiques et politiques dans ce pays africain et dans d’autres pays.

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