Société

Massacre brutal au-dessus de l’eau !

Le 29 novembre 1781, de terribles événements commencèrent à bord du navire britannique « Zong », qui transportait 442 esclaves d’Accra, en Afrique de l’Ouest, vers la Jamaïque. Ce qui s’est produit est un événement honteux et une mort à bas prix sur l’eau, ce jour-là, les difficultés à bord du navire négrier « Zhong » se sont intensifiées et le capitaine, nommé Luke Collingwood, est devenu extrêmement bouleversé. Le navire s’est égaré à cause d’une erreur de navigation et a navigué sans but pendant plusieurs semaines dans la mer des Caraïbes, tandis que les conditions de la « cargaison vivante » qu’il transportait se détérioraient en raison de la propagation de l’épidémie de choléra et d’autres maladies à bord, et il ne restait qu’un peu d’eau potable.

Le 29 novembre, le capitaine et ses marins ont trouvé une solution rapide au problème de la « cargaison vivante avariée ». L’équipage a retiré 54 femmes et enfants des cales du navire et les a jetés à la mer, enchaînés. Leurs cris déchirants et leurs bras les uns aux autres n’ont servi à rien, tandis que les membres de l’équipage pensaient seulement qu’ils perdaient 35 livres sterling pour chaque « esclave » mort, le capitaine était conscient que le marchand d’esclaves britannique James Gregson, qui avait affrété son navire, serait très en colère lorsqu’il l’apprendrait. De plus, le capitaine lui-même était également intéressé à réaliser un profit, et à cet effet il en a entassé quatre cents et quarante esclaves africains dans les coins du navire, ce qui représentait environ trois fois plus que sa cargaison.

  Le calao est presque éteint dans certaines régions d'Afrique du Sud

La mort a également touché les marins. Le capitaine, qui travaillait auparavant comme chirurgien, a perdu sept des 17 marins de l’équipage britannique. Le petit nombre d’entre eux rendait impossible de maintenir le navire propre et sûr au cours d’un voyage long et ardu, le capitaine du navire de l’époque avait perdu environ 60 esclaves et n’avait plus d’autre solution que de jeter tous les noirs malades à la mer avant qu’ils ne rendent leur dernier souffle dans les cales du navire et n’en infectent d’autres.

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