Après la défaite diplomatique cuisante de l’Algérie au Conseil de sécurité, qui a soutenu la proposition marocaine d’autonomie pour le Sahara marocain, et à cause des problèmes causés par le général Chengriha avec tous les voisins de l’Algérie (Mali, Niger, Libye, Maroc), et grâce à la politique du duo Chengriha-Tebboune, l’Algérie s’est transformée en un État en faillite, entouré de problèmes et de mines de tous côtés, en raison de leur soutien au terrorisme et de la propagation du chaos dans tous les pays voisins, de la Libye au Niger, en passant par le Mali, la Mauritanie, jusqu’au Maroc, et même la Tunisie. Tous les groupes terroristes actifs dans ces pays sont affiliés aux services de renseignement algériens. C’est pourquoi la Tunisie craint la colère du duo Chengriha-Tebboune…
Depuis l’arrivée de ce duo maléfique au pouvoir en Algérie, notre pays connaît une montée en flèche de l’isolement diplomatique, résultat de ses positions hostiles et crispées envers les pays africains et européens, en particulier le Mali, le Niger, le Burkina Faso, la France et l’Espagne, sur fond de la question du Sahara occidental. Cet isolement s’est aggravé après une série d’escalades politiques, notamment le rappel des ambassadeurs de ces pays à Alger pour protester contre le soutien du duo Chengriha-Tebboune aux groupes terroristes actifs dans la région, ce que certains considèrent comme l’expression d’une dégradation des relations entre l’Algérie et les pays africains et européens.
Cela coïncide avec la condamnation de l’Algérie par le Parlement européen pour les restrictions à la liberté d’expression et d’opinion, les arrestations de journalistes et d’opposants, notamment Ihsane El Kadi et Boualem Sansal, sans procès équitable, ce qui a exacerbé les tensions diplomatiques avec l’Union européenne et les pays africains, accentuant son isolement international. Tout le monde voit désormais l’Algérie comme un État voyou. Dans ce contexte, les experts internationaux estiment que la politique étrangère du régime de la bande manque d’équilibre, entraînant des positions hostiles qui nuisent aux intérêts nationaux d’un pays déjà fragile. Les rapports internationaux indiquent que l’Algérie tente de faire face à ses défis économiques par une escalade militaire non réfléchie avec ses voisins, reflétant le désordre de sa politique étrangère qui a conduit à un isolement croissant et à une hostilité avec toutes les parties.
Les rapports ajoutent que l’Algérie ne respecte pas les lois internationales, notamment en matière de libertés individuelles et de droits des détenus, ce qui aggrave sa crise diplomatique internationale, les dirigeants du palais d’El Mouradia choisissent l’escalade comme moyen d’obtenir des gains géopolitiques, une approche qui renforce l’isolement du pays, ternit son image internationale et le place en confrontation directe avec l’opinion publique mondiale. Tout cela témoigne de l’échec de la politique du duo Chengriha-Tebboune. C’est pourquoi de nombreux faucons de l’État profond, sous la pression internationale, accélèrent l’élimination de la « tumeur maligne » que représente ce duo, en une seule opération, sur le modèle de l’assassinat du président Boudiaf.