Economie

Le Point : La Tunisie a deux options : le Fonds monétaire international ou la faillite

Le Point : La Tunisie a deux options : le Fonds monétaire international ou la faillite

 La Tunisie est aujourd’hui dans une situation similaire à ce qu’était l’Ukraine en 2014, et elle risque d’être vouée à la faillite, et elle ne pourra pas payer ses énormes dettes si elle ne reçoit pas un énorme plan du Fonds monétaire international, le magazine français « Le Point » a déclaré que lorsque l’institution financière internationale a trouvé l’Ukraine sur la voie de la faillite, et lui a présenté le troisième plan en 7 ans, elle lui a demandé de mettre en œuvre les réformes nécessaires pour bénéficier de l’allocation allouée fonds, étant donné que la transaction se ferait main dans la main, et peut-être un tel scénario Il sera témoin de la Tunisie, qui depuis 2011 a reçu des prêts du Fonds, mais n’a tenu aucune de ses promesses.

Désormais – comme le dit le magazine – la Tunisie se retrouve dans la situation de Kiev en 2014, où 11 réformes ont été menées avant de payer le premier dollar dont le pays avait désespérément besoin, en réduisant les subventions énergétiques et en augmentant les prix du gaz de 50%, et le pays sera entre deux options : soit le FMI international, soit la faillite, le magazine notait ce qui était indiqué dans une note récente de la Direction générale du Trésor français selon laquelle « le recours massif à l’emprunt extérieur prévu en 2022 pour couvrir près des deux tiers des besoins de financement annuels rend nécessaire la conclusion d’un programme avec le Fonds monétaire international, et sans le Fonds, il n’y aurait pas d’argent frais. » « Parce que la Tunisie ne lui accorde que des prêts sur les marchés financiers à des taux d’intérêt à deux chiffres, à cause de sa mauvaise réputation en matière de finances publiques.

  Network International et Infobip vont proposer WhatsApp pour les services bancaires aux entreprises à travers l'Afrique

Tous les signes tirent la sonnette d’alarme, puisque 18,4% de la population est au chômage, dont 42% de jeunes, et cela s’accompagne d’un effondrement des taux totaux d’investissement et d’épargne en 2021 avec un taux d’inflation de 7,2% en mars, à la fois lorsque l’investissement direct étranger rechutera, et la croissance ne sera plus que de 2,6%, selon la banque centrale.

Ajouter un commentaire

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les plus lus

To Top