Economie

CcHUB va lancer un accélérateur de 15 millions de dollars pour les startups ed-tech au Kenya et au Nigeria

CcHUB va lancer un accélérateur de 15 millions de dollars pour les startups ed-tech au Kenya et au Nigeria

Co-Creation Hub (CcHUB), présenté comme le plus grand hub d’innovation et d’incubation d’Afrique, a annoncé le lancement d’un programme d’accélération de 15 millions de dollars pour cibler les startups ed-tech, l’initiative baptisée The EdTech Fellowship Program devrait bénéficier à 72 startups au Nigeria et au Kenya au cours des trois prochaines années.

Le programme d’accélération soutiendra et étendra l’impact des startups ed-tech à travers l’Afrique, ainsi que les fondateurs offrant des solutions technologiques qui abordent l’innovation en matière d’apprentissage dans le secteur de l’éducation. Les rapports indiquent que l’ed-tech est le huitième secteur le plus investi et ce financement donnera un coup de pouce bien nécessaire aux innovateurs et créateurs dans cet espace, Bosun Tijani, co-fondateur et PDG de CcHUB, a déclaré qu’ils chercheraient également à relier divers acteurs du secteur de l’éducation, « Si nous investissons intentionnellement dans un écosystème inclusif très structuré de technologies éducatives composé de gouvernements, d’enseignants, d’investisseurs, de fondations et même, dans certains cas, d’étudiants et de leurs parents, nous pensons que nous pouvons commencer à mieux comprendre comment utiliser technologie pour améliorer l’apprentissage dans les écoles »,

CcHUB dit qu’ils visent à soutenir les startups qui génèrent des résultats d’apprentissage.

Pour y parvenir, l’incubateur travaillera avec des équipes de recherche internes qui seront chargées de travailler avec les startups pour tester les produits, les lancer et les aider à monter en gamme, « Au cours des trois prochaines années, nous aurons 72 entreprises ed-tech lancées sur le marché. Nous pensons que cela relancera l’écosystème et le redémarrera à nouveau, car sur ce nombre, au moins vous êtes sûr qu’environ la moitié ou 20 à 30% d’entre eux vivraient encore trois à quatre ans. Et cela nous permettra de savoir si la technologie peut vraiment fonctionner pour l’éducation en Afrique », a déclaré Tijani.

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