Economie

La déconnexion entre investisseurs et fondateurs constitue une menace majeure pour le financement technologique en Afrique

La déconnexion entre investisseurs et fondateurs constitue une menace majeure pour le financement technologique en Afrique

Selon un rapport récemment publié par Wimbart, une agence de relations publiques spécialisée dans les secteurs de la technologie et des startups en Afrique et sur les marchés émergents, 71 % des investisseurs technologiques africains n’investiront pas de financement de suivi dans une startup qui ne leur fournit pas de rapports régulièrement mis à jour, intitulé « Rapports sur les performances des startups en Afrique : que veulent savoir les investisseurs ? », les conclusions du rapport soulignent la nécessité importante et opportune pour les fondateurs de l’écosystème de redéfinir les priorités de leurs efforts de communication avec leur base d’investisseurs existante afin de répondre à leurs besoins de financement à long terme.

Selon le rapport, 29 % des investisseurs en startup ont déclaré ne pas recevoir de rapports périodiques de la part des sociétés en portefeuille, ces résultats sont particulièrement pertinents pour les fondateurs, car lorsqu’on leur a demandé si la qualité des rapports sur les startups était un facteur significatif dans la formation des perceptions du leadership, la note moyenne fournie était de 8,5 sur 10. La cohérence et la fiabilité ont également été classées comme les caractéristiques les plus importantes pour les fondateurs. investisseurs au cours du processus de reporting, publié dans le premier rapport de Wimbart sur les relations avec les investisseurs, « Startup Performance Reporting in Africa » explore le potentiel des rapports consolidés auprès des investisseurs pour renforcer la confiance des investisseurs et le soutien continu aux startups technologiques africaines. Avec plus de 90 % des répondants au rapport comprenant des investisseurs en capital-risque, des investisseurs providentiels, des accélérateurs et des incubateurs de tout le continent, il s’agit de la première étude panafricaine à identifier les points faibles de la communication avec les investisseurs et à proposer une approche optimisée à adopter par les startups africaines.

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Dans un contexte de ralentissement mondial des investissements dans lequel les conditions macroéconomiques ont entraîné une baisse de 50 % d’une année sur l’autre du succès des levées de fonds pour les startups selon ce rapport, le rapport panafricain sur les relations avec les investisseurs de Wimbart est une ressource opportune pour comprendre les attentes des investisseurs en matière de reporting sur les performances des startups sur le continent.

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