Economie

Opportunités économiques entre l’Afrique et l’administration Britannique de «Boris Johnson»

Opportunités économiques entre l'Afrique et l'administration Britannique de «Boris Johnson»

Le 20 janvier 2020, le Royaume-Uni a accueilli le Sommet de l’investissement anglo-africain à Londres, dans le but de renforcer ses relations commerciales avec l’Afrique et d’explorer de nouvelles opportunités pour les deux parties après la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne (Brexit) fin janvier dernier.

On a de nouveau parlé des opportunités que le « Brexit » offrirait à l’Afrique lorsqu’un rapport indiquait la possibilité que l’Afrique de l’Ouest soit le panier alimentaire de la Grande-Bretagne, et que le Ghana dirige actuellement un projet sur la façon dont les petits agriculteurs de la « Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest » (CEDEAO) peuvent fournir La Grande-Bretagne a les produits agricoles dont elle a besoin. Un échange d’idées sur cette possibilité est toujours en cours par une équipe de chercheurs ghanéens, nigérians et britanniques de l’Université du Ghana pour les études sur le développement (UDS).

L’un des défis auxquels l’Afrique est confrontée est que la plus grande partie de ses affaires sont traitées conformément aux réponses apportées aux implications des développements politiques et économiques en Europe et en Asie. En outre, les mouvements économiques de certains présidents en Afrique confirment souvent leur refus d’être indépendants dans la prise de décision et de défendre les intérêts de leur peuple.

En plus de ce qui précède, toute tentative de réinitialisation des relations anglo-africaines doit préétablir une culture de lutte contre la corruption et la bonne gouvernance. Comme il est indiqué dans les accords précédents et existants avec l’Union européenne, les États-Unis d’Amérique, la Chine, la Turquie et d’autres, que ces pays cherchent à obtenir une part des ressources africaines; La corruption administrative de la part de la classe dirigeante et des élites africaines a également contribué à la disparition de l’impact de ces accords, notamment en ce qui concerne la stimulation de la revitalisation économique pour relever les défis de la plupart des pays africains.

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