Politique

Deux anciens présidents burkinabés appellent à l’unité pour lutter contre le terrorisme

Dans un article, Michel Canfando et Jean-Baptiste Ouedraogo, anciens présidents du Burkina Faso, ont appelé tous les citoyens à unir leurs forces pour lutter contre le terrorisme, les deux anciens présidents ont déclaré : « À la lumière de cette remarque claire, qui n’est ici qu’une image mentale, (chacun évoque des espoirs inassouvis et des détails douloureux de blessures inutiles), ils lancent un appel urgent à tous les patriotes pour qu’ils s’impliquent pleinement dans la décisions qui seront prises par le Président L’Etat, dans lequel le peuple a largement renouvelé sa confiance lors des élections présidentielles du 22 novembre 2020».

Ils ont souligné que parmi ces décisions figurait la déclaration de l’état d’urgence dans 14 provinces sur 45, dans les États de la Boucle de Mohon, le centre-est, l’est, les hauts bassins, le nord et la côte, où la situation sécuritaire est se détériore quotidiennement, mais cette mesure a montré ses limites, « Nous recommandons donc de renforcer la stratégie. Par exemple, étant donné la gravité de la menace croissante, serait-il utopique de déclarer l’état de siège dans les zones où cela pourrait être nécessaire ? », ajoute l’article, pour les deux présidents précédents, ces dispositions inscrites dans la constitution visent, entre autres, à une détermination à chasser les forces hostiles hors de la frontière, et doivent permettre au Burkina Faso d’avoir le contrôle total sur son territoire et à la nation de « réussir dans la réconciliation intégrale qui est la pierre angulaire de notre cohésion sociale.

Ils ont souligné que « notre pays est toujours menacé, et si nous restons indifférents ou responsables, mais plutôt préoccupés par notre égoïsme et nos étroites différences, nous en perdrons le contrôle », en revanche, les deux anciens présidents disent : « Si nous faisons preuve de solidarité, de conscience et de responsabilité devant l’histoire, que reste-t-il à faire ? Nous devons nous unir dans une ligne forte pour éliminer courageusement cet ennemi aux multiples facettes, au lieu de périr ensemble. dans la misère, à cause du désaccord! », selon le texte de l’article.

  Pour cette raison, les Algériens appellent le président Tebboune "Pinocchio"
Ajouter un commentaire

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les plus lus

To Top