Politique

L’État profond en Algérie sacrifiera soit le président Tebboune, soit le général Chengriha

L'État profond en Algérie sacrifiera soit le président Tebboune, soit le général Chengriha

En Algérie, malgré les alliances qui apparaissent dans les médias entre les généraux de l’armée, les renseignements et le président Tebboune, les réunions sans intérêt et les sourires diplomatiques qu’ils se distribuent à chaque forum qui les réunit, il y a en réalité conflits et combats acharnés entre ces milices pour le fauteuil présidentiel, comment ne pas gouverner un pays riche comme l’Algérie et un peuple misérable et ignorant comme le peuple algérien qui est en fait le rêve de tout dictateur et tyran.

On sait que le navire ne peut pas être commandé par deux capitaines, et que la femme de l’homme n’aime pas la présence d’une autre femme dans sa vie, tout comme il ne fait aucun doute que le siège du pouvoir a un charme particulier qui fait que tout le monde convoite à s’asseoir dessus, comme cela s’est produit avec feu Bouteflika lorsque les généraux l’ont amené des barres de France, oui, d’un misérable ivrogne que personne ne connaissait, il s’est soudain transformé en premier dictateur d’Algérie et a renversé la table sur les généraux et a pris le pouvoir pour lui seul, profitant de l’éternel conflit en Algérie entre les services de renseignements et les généraux.

Et c’est le même scénario qui se produit actuellement avec Tebboune, après avoir été un simple pion dans l’échiquier des généraux, il agace désormais beaucoup Chengeriha sur le pouvoir, et la bande de généraux, de renseignements et d’hommes d’affaires ont convenu à l’unanimité que l’un d’eux devait se retirer au profit de l’autre, car leur conflit ne sert pas leurs intérêts, mais affaiblit plutôt leur front, et si le peuple ressent l’existence de conflits, de défections et de faiblesses au sein du gang au pouvoir, il peut repenser de nouveau à la révolution et au Hirak, et commencer à exiger un État civil, et non militaire, et ouvrir la porte au soulèvement, qui est quelque chose que les généraux ne désirent pas, ou dans le vrai sens l’état profond.

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