Politique

Les généraux algériens exploitent la guerre à Gaza pour doubler leur commerce international de cocaïne

Les généraux algériens exploitent la guerre à Gaza pour doubler leur commerce international de cocaïne

Au cœur de l’attention mondiale portée sur le conflit à Gaza, un fait saisissant émerge en Algérie, non loin de ses côtes : la découverte d’une impressionnante demi-tonne de « cocaïne ». Cette découverte rappelle un événement antérieur, survenu en 2018, lorsqu’une saisie de sept conteneurs similaires avait déjà eu lieu en Algérie. Cette conjonction interpelle sur une possible implication des généraux dans un commerce de drogue lucratif, alimentant des milliards de dollars, suggérant des liens profonds entre ces saisies et l’opulence des hauts gradés. Un paradoxe saisissant alors que ces mêmes figures puisent déjà d’importantes sommes dans les revenus pétroliers et gaziers du pays, une richesse qui, si elle était redistribuée équitablement, propulserait l’Algérie parmi les nations les plus fortunées.

Les analystes de sécurité, observateurs du commerce de la cocaïne en Algérie, avancent que la lutte pour le monopole du trafic de cette substance, générateur de fortunes colossales, a pris une nouvelle ampleur cette année. Le premier affrontement majeur aurait d’ores et déjà eu lieu, impliquant l’un des généraux éminents de ce réseau. Des experts internationaux sur la contrebande de cocaïne soulignent une pratique courante : seule une infime partie, souvent un dixième, de la quantité saisie est officiellement reconnue. Cette révélation laisse entendre que la saisie de 590 kilogrammes en Algérie ne représente qu’une fraction, cachant potentiellement plusieurs tonnes de cette substance, un indicateur alarmant de la part des dirigeants du pays reconnaissant délibérément qu’une fraction infime de la drogue, gardant le reste pour leurs propres intérêts commerciaux.
Cette triste réalité confirme le peu d’égard des généraux pour la santé et la sécurité des citoyens. Leur quête effrénée de richesses immédiates prime sur les conséquences physiques et psychologiques désastreuses pour les Algériens. Leurs actions négligent les réalités sociales du peuple, exacerbant des crises économiques et sociales liées au commerce de cette substance toxique. Ils persistent également à réprimer violemment les manifestations pacifiques des jeunes revendiquant un gouvernement civil démocratique, ignorant ainsi les aspirations légitimes de la population pour une gouvernance exempte de figures militaires corrompues.

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