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Le régime dictatorial des généraux en Algérie plaide la France et l’Espagne pour lui remettre les opposants

Le régime dictatorial des généraux en Algérie plaide la France et l'Espagne pour lui remettre les opposants

Le régime dictatorial des généraux en Algérie souhaite une réponse favorable de la part de la justice française et espagnole à des dizaines de demandes d’arrestation internationale émises par les autorités judiciaires civiles et militaires en Algérie contre des militants, des blogueurs et des personnalités politiques et militaires vivant dans des pays d’Europe, en particulier la France, l’Espagne, la Suisse et la Grande-Bretagne.

En effet, l’affaire du célèbre blogueur algérien Amir Boukhors (AMIR.DZ) qui avait été précédemment arrêté par la police française pour enquête avant sa libération, a révélé les méthodes utilisées par le régime algérien pour la répression et l’intimidation contre les opposants civils. À cet effet, l’état algérien a déposé le dossier de l’opposant au régime AMIR.DZ par l’intermédiaire du bureau régional d’Interpol à Marseille, qui à son tour renvoyait sept mandats d’arrêt contre AMIR.DZ à la justice française …

Cependant, malgré les efforts du régime des généraux pour réprimer les opposants algériens à l’étranger, l’Algérie a rarement été en mesure d’extrader des personnes recherchées des pays de résidence en Europe.

En effet, les détails des dossiers antérieurs révèlent de nombreuses complications pour la justice algérienne, qui a causé l’annulation de l’extradition supposée des opposants, et à cet égard les pays du Commonwealth, par exemple, ne mettent pas en œuvre les mandats d’arrêt internationaux ou les ordres émis par Interpol, car ils exigent la préparation d’un dossier convaincant avant d’extrader les personnes recherchées, et sur cette base, l’Algérie a précédemment réussi à persuader la Grande-Bretagne d’extrader le propriétaire de l’empire financier effondré, Abdul-Mu’min ben Ali Agoumi (Calife), après un long processus judiciaire, alors qu’il n’est mentionné aucun détail sur l’extradition des personnes recherchées dans des pays européens, conformément au droit international qui n’a pas de caractère obligatoire, mais plutôt facultatif, et la différence de législation entre un pays et un autre a contribué à l’échec de nombreuses demandes d’extradition.

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En outre, les pays européens reconnaissent le droit à la liberté d’expression et à l’opposition pacifique, contrairement au régime dictatorial des généraux en Algérie, qui ne reconnaît que l’oppression et l’esclavage des Algériens.

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