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Armée soudanaise: Nous continuons à déployer nos forces pour reprendre toutes nos terres à l’Éthiopie

Armée soudanaise: Nous continuons à déployer nos forces pour reprendre toutes nos terres à l'Éthiopie

L’armée soudanaise a annoncé sa détermination à récupérer toutes les terres du Soudan, selon les frontières de 1902, à l’Éthiopie, indiquant sa capacité à protéger les zones «libérées» à la suite de la récente escalade militaire.

L’agence de presse officielle SUNA a rapporté que le commandant des forces terrestres et le commandant de l’avancée d’al-Gadarif, le lieutenant général Issam Muhammad Hassan Karar, a confirmé après un briefing donné à un membre du Conseil de souveraineté, le chef du Front révolutionnaire, Hadi Idris, qui a visité la ville frontalière avec l’Éthiopie,«la capacité des forces armées à protéger tous Un pouce des terres qui ont été libérées et l’armée s’est répandue à l’intérieur de ses frontières pour sécuriser les zones agricoles».

Karrar a souligné « le déploiement continu de l’armée pour récupérer toutes les terres soudanaises connues, selon les frontières de 1902 ».

Karrar s’est engagé à protéger les terres agricoles fertiles du Soudan, ce qui stimulera la production et la productivité, stimulera l’économie globale du pays et réalisera le boom économique majeur, selon SUNA.

Il a également souligné l’absence d’agression contre les autres et le franchissement des frontières, soulignant dans le même temps le déploiement des forces armées à l’intérieur des terres soudanaises pour protéger le sol de la patrie et sécuriser les terres pour les agriculteurs soudanais à cultiver cette année.

À son tour, Idris a souligné que «le gouvernement de la période de transition soutient les forces armées et leur apporte soutien et soutien dans la lutte pour la dignité et le déploiement à l’intérieur des frontières, car c’est un droit légitime des forces armées», depuis des mois, la frontière soudano-éthiopienne est témoin de tensions militaires après que Khartoum a annoncé à la fin de 2020 le contrôle de terres qui, selon elle, appartenaient au Soudan dans une zone frontalière avec l’Éthiopie, tandis qu’Addis-Abeba accusait l’armée soudanaise de s’emparer de camps à l’intérieur du territoire éthiopien, ce que nie Khartoum.

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