Le contemplateur de ce qui se passe aujourd’hui en Algérie se rend compte que l’absence de justice est l’une des choses qui a violé la loi de la vie dans ce pays, et pour cela un changement doit être effectué en urgence afin d’atteindre le meilleur. Nous constatons que les manifestations qui ont eu lieu en Algérie pendant une période de deux ans ont rencontré une forte réponse parmi les opprimés dans toute l’Algérie, car les gens sont fatigués du silence et de l’esclavage, la patience est à bout. Ainsi, le jour est venu où les Algériens vont ôter les chaines en fer des généraux de leurs cous…
En Algérie, la justice sociale ne peut être atteinte sans congruence avec le concept de valeurs générales de justice au niveau social et politique, cela nécessite d’élever le niveau de sensibilisation du public, plus la conscience sociale est grande, plus la zone de tromperie du politicien envers le public est petite et plus le retard social est grand, plus la zone de tromperie du politicien envers le public est grande, par conséquent, il n’est pas facile pour les politiciens des pays développés, même s’il était le président du pays de tromper le public conscient pour ne pas perdre son avenir politique lié aux votes des électeurs.
Mais en Algérie il y a se qu’on appelle « la politique de téléphone ».
Et comme exemple à cela, l’affaire de détournement de 260milliards.
En effet, le tribunal de Bouira a reporté l’audience de l’affaire de détournement de 260 milliards de centimes d’une agence bancaire. La décision de report a été prise par le tribunal de Bouira à la demande des accusés qui ont refusé le procès à distance, dans le cadre des mesures prises pour prévenir le Coronavirus.
Cependant, la vérité, selon nos sources, est différente, les données disponibles dans l’affaire montrent que quatre accusés sont mis en examen, dont le directeur de l’agence et un homme d’affaires proche du régime, alors que ce dernier a mentionné dans les enquêtes menées avec lui par les autorités compétentes dans l’affaire le nom de Chafik Chengriha, fils du commandant suprême d’Algérie, le général Saïd Chengriha, et qu’il est le premier responsable de tout. C’est pour cette raison que toute l’affaire s’est inversée à 180 degrés, de sorte que l’homme d’affaires et le directeur de la banque ont été acquittés, et des employés de la banque ont été arrêtés à titre provisoire, suite à l’enquête.
