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Les imams algériens contribuent à la propagation du Sida après avoir légalisé l’adultère et la sodomie si c’est la solution pour ne pas mourir de faim !!!

Les imams algériens contribuent à la propagation du Sida après avoir légalisé l'adultère et la sodomie si c'est la solution pour ne pas mourir de faim !!!

Afin de contenir de manière massive la propagation du Sida en Algérie, un rapport réalisé par le ministère algérien de la Santé a mis en lumière les villes algériennes les plus connues pour la diffusion généralisée de la prostitution, selon le nombre de travailleuses du sexe présentes dans celles-ci et le statut juridique des maisons de prostitutions dans chaque ville, bien entendu, Alger se taille en quelque sorte la part du lion dans ces statistiques, légales et consignées dans les documents officiels du gouvernement du président Tebboune.

Et ce rapport fait état des cinq villes algériennes qui favorisent le plus le commerce de la prostitution, avec Alger en première position, suivie de près par Oran, et cité respectivement Annaba, Batna et Sétif, dans l’ordre suivant Alger la capitale, et ici apparaît la tumeur maligne de la prostitution et la sodomie qui se propage dans toutes les couches de la société algérienne, d’est en ouest, le rapport indique que la prostitution est florissante à Alger de manière importante, bénéficiant à des dizaines de milliers de travailleurs étrangers, notamment chinois, et la prostitution n’est pas nouvelle aujourd’hui en Algérie qui a été l’un des premiers pays au monde à autoriser légalement la prostitution, et le commerce de la viande blanche et des garçons a prospéré, car c’était une station dont les armées coloniales de la région pouvaient profiter à cette époque des femme travaillant dans la prostitution en Algérie, les villes côtières et intérieures connaissaient également le commerce de la sodomie, la pratique de l’homosexualité et l’exploitation des enfants des deux sexes à des fins sexuelles et de sodomie, tout cela se faisant légalement et naturellement.

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Et actuellement, l’Algérie compte plus d’un million de prostituées et 1,7 million d’homosexuels qui travaillent légalement et sont protégés par l’État, et la particularité que connaît notre pays à cet égard est que la fille ou le garçon travaille au profit de sa famille, d’où le nom « prostitution qui fait vivre », c’est-à-dire que la pratique de la prostitution est héritée dans la famille par la grand-mère, la mère, la fille, l’oncle, la tante et même parmi les hommes, il est alors anormale de ne trouver dans la maison aucun homosexuel ou une prostituée, ils sont plutôt devenus des éléments importants des familles algériennes et leurs piliers de base, car ce sont ces homosexuels et ces prostituées qui supportent les dépenses et les besoins de la famille, et depuis l’âge de 16 ou 17 ans, une fille est obligée d’assumer la responsabilité de la famille et de subvenir à ses besoins, ainsi, la prostitution pour la femme algérienne est considérée comme synonyme de subvenir aux besoins de ses frères et de les nourrir, en effet, il y a parmi les imams des généraux ceux qui légifèrent sur l’adultère et la sodomie si c’est le seul revenu de la famille algérienne et pour la sauver de la mort par famine.

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