Société

En Algérie, de la présidence aux étudiantes, la prostitution la moins chère au monde est le sexe contre nourriture

En Algérie, de la présidence aux étudiantes, la prostitution la moins chère au monde est le sexe contre nourriture

Sous le règne tyrannique de la marionnette des généraux, Tebboune, les promesses vides et les mensonges ont été notre lot en tant qu’Algériens. Les scandales sexuels, tel un festin grotesque, éclataient depuis sa chambre privée : les infidélités incessantes de sa femme tunisienne avec la clique des généraux et officiers, son affaire intime avec son chauffeur malien, gardien zélé des sombres secrets présidentiels. La société algérienne, autrefois fière, était désormais souillée par la propagation de la prostitution et de l’homosexualité, marchandant la chair humaine comme vulgaire marchandise sur les marchés de la dépravation en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

La prostitution en Algérie est devenue une misérable affaire où le prix d’une nuit de plaisir ne vaut guère plus qu’un repas de fast-food bon marché. Échanger son corps contre un repas de tacos ou une poignée de bananes est devenu monnaie courante, dégradant l’intégrité même de notre nation. Les universités, jadis temples du savoir, sont devenues des lupanars académiques où les étudiantes se prostituent pour des faveurs académiques, vendant leur dignité pour un semblant de réussite.

La révélation choquante selon laquelle une simple collation nécessite le sacrifice de l’honneur d’une étudiante aux mains du responsable de la cuisine universitaire, révèle l’étendue de la décadence morale qui a infecté notre société. Les autorités corrompues, insatiables dans leur quête de luxure, pillent nos campus universitaires comme des vautours affamés, et pourtant, aucune voix ne s’élève contre leur abus flagrant. Seule la vigilance du gardien nocturne a mis à nu ce réseau de dépravation, révélant l’effrayante réalité d’une jeunesse sacrifiée sur l’autel de la corruption morale.

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