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La commission des droits de l’homme accuse les forces de sécurité éthiopiennes d’arrêter des mineurs

La commission des droits de l'homme accuse les forces de sécurité éthiopiennes d’arrêter des mineurs

La Commission des droits de l’homme, nommée par l’État, a déclaré lundi dans un rapport que les forces de sécurité éthiopiennes avaient arrêté 11 mineurs dans le cadre d’une répression contre un groupe militant dans la région de Gambella, à l’ouest du pays, et avaient également réprimé les politiciens de l’opposition.
Le rapport indique également qu’environ 90 personnes, pour la plupart des Tigréens, ont été détenues à Gambella sans aucune enquête depuis le début de novembre, lorsque la guerre a éclaté entre les forces fédérales et les forces de l’ancien parti au pouvoir dans la province du Tigré.
Le HCR a déclaré que lors d’une visite dans la région d’Agnwah à Gambella entre le 21 et le 24 décembre, il avait découvert des conditions de détention inquiétantes.
Elle a ajouté que les deux garçons avaient été battus et que les Tigréens avaient été arrêtés parce qu’ils étaient soupçonnés de soutenir le Front de libération du peuple tigréen.
Selon la presse internationale, l’armée éthiopienne est impliquée dans la perpétration d’une attaque généralisée et « systématique » contre des civils, ce qui équivaut à des « crimes contre l’humanité ».
L’agence «Associated Press» d’Amérique, les détails du rapport de la Commission éthiopienne des droits de l’homme, qui a révélé que les forces éthiopiennes étaient impliquées dans des crimes ethniques sanglants.
Le rapport souligne que les forces de sécurité éthiopiennes ont tué plus de 75 personnes et blessé environ 200 autres, lors de troubles ethniques sanglants, au cours des mois de juin et juillet.
La commission a déclaré que ces meurtres comprenaient des décapitations et des tortures odieuses, qui comprenaient le fait de traîner des victimes dans les rues pour les abuser.
Quant à ces troubles, elle a déclaré qu’ils avaient éclaté après le meurtre de la chanteuse Halchalo Hondesa, considérée comme une expression des manifestations antigouvernementales au pouvoir depuis 2018.

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