Il est bien connu que ce que notre pays, l’Algérie, exporte officiellement et devant le monde entier, ce sont le gaz, le pétrole et les pattes de poulet. Quant aux compétences humaines exportées à l’étranger, nous exportons, sans fierté, des voleurs, et nous possédons les prostituées les moins chères et les homosexuels les plus célèbres au monde. Pire encore, nos services de renseignement militaire, si respectés, disposent de sections entières spécialisées dans l’exportation de prostituées et d’homosexuels à des fins politiques, militaires et économiques.
De plus, la bande au pouvoir exporte nos problèmes internes vers notre environnement régional extérieur afin de créer des ennemis fictifs pour détourner l’attention du citoyen misérable, lui permettant d’évacuer sa frustration refoulée sur ces ennemis, et ce, dans le but de dissimuler la vérité terrifiante au peuple opprimé, qui vit désormais ses jours et ses nuits les plus sombres, entre pénurie d’eau et de nourriture et coût de la vie exorbitant, au point que l’honneur en Algérie est devenu la marchandise la plus bon marché et la plus consommée…
En plus de tout cela, la bande dirigeante en Algérie a commencé à exporter des maladies graves comme le sida et le paludisme vers les pays voisins, en particulier le Mali et la Mauritanie, qui ont échappé au contrôle de la bande des généraux. Il semble que l’épidémie de paludisme, qui ravage le sud du pays depuis des semaines, ait été exportée récemment vers le Mali et la Mauritanie, pays frères, par la bande des généraux, comme une forme de punition pour la sortie de la Mauritanie de l’orbite de cette bande et de son contrôle.
En effet, la Mauritanie a enregistré ces derniers jours une augmentation alarmante du nombre de cas de paludisme, avec une hausse de 400 % qui a suscité l’inquiétude des autorités sanitaires locales et soulevé des questions sur les causes possibles de cette situation effrayante. Le ministère de la Santé mauritanien a indiqué avoir enregistré une augmentation des cas de paludisme dans plusieurs Wilayas frontalières avec l’Algérie depuis la fin du mois dernier, précisant que le taux d’augmentation a atteint 400 %. Des citoyens mauritaniens ont exigé, via les réseaux sociaux, une intervention urgente des autorités gouvernementales pour contenir la maladie.
Certains ont évoqué une pénurie de médicaments de prévention et de traitement du paludisme dans plusieurs régions, y compris la capitale Nouakchott, et ont appelé à une surveillance des frontières avec l’Algérie et à l’interdiction de l’importation de toute marchandise en provenance de ce pays.
