Société

La prostitution et l’homosexualité, un héritage culturel ancien en Algérie…

Ce qui se passe dans notre pays martyrisé, entre criminalité, corruption, famine, pauvreté, propagation des ordures, prostitution bon marché et homosexualité gratuite, est-il réellement dû à une crise de virilité, comme l’a dit il y a des décennies le président défunt Boumédiène, ou cela remonte-t-il à l’héritage humiliant et honteux laissé par nos ancêtres aux générations suivantes ? En effet, le premier lupanar pour la prostitution et l’homosexualité en Afrique et au Moyen-Orient se trouvait chez nous, en Algérie, où le commerce des « ghulams » (jeunes garçons) a prospéré sous l’ère des Espagnols et des Ottomans, qui utilisaient femmes et hommes comme objets de plaisir sexuel, bons pour la consommation et le commerce avec les Arabes et les Perses…

Et si le président déviant Tebboune, à la tête de l’État, a promulgué des lois protégeant les prostituées et les homosexuels par des contrats légaux officiels, facilitant ainsi la propagation de la prostitution et de l’homosexualité à travers la république, cela a entraîné l’apparition d’enfants des rues de filiation inconnue, portant des traits génétiques du monde entier : des yeux bridés asiatiques, des cheveux roux, des yeux bleus, et même une peau noire ou des yeux écarquillés. On trouve ainsi dans notre pays toutes les races du monde, issues de mères algériennes et de pères de diverses nationalités.

Dans un incident récurrent et habituel dans le pays, la police d’Ali Mendjeli, dans la Wilaya de Constantine, a démantelé un réseau de prostitution non autorisé composé de 40 personnes, dont 15 mineurs, parmi lesquels des filles ayant perdu leur virginité « par devant et par derrière », et 25 homosexuels dont le rôle était d’attirer les visiteurs européens et du Golfe. Ils ont été trouvés en possession d’une quantité de préservatifs, de stimulants sexuels, de drogues et d’hallucinogènes locaux. Moins de 24 heures après leur arrestation, ils ont été libérés sur un simple coup de fil d’un responsable militaire de la Wilaya, sans caution ni procès légal. Tout cela se passe dans la « nouvelle Algérie »…

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