En Algérie, la cour criminelle de première instance de Dar El Beïda, dans la capitale, a prononcé des peines ne dépassant que deux ans de prison à l’encontre de 7 accusés détenus, ayant des antécédents judiciaires en matière de commerce de drogues, et particulièrement de contrebande de pilules hallucinogènes algériennes vers les pays voisins, les criminels ont formé une bande organisée qui a tenté d’inonder la capitale tunisienne avec 500 000 comprimés hallucinogènes, transportés de la capitale vers la Wilaya d’El Oued, dans le sud du pays, cachés dans la structure d’un véhicule, contre un coût de transport de 100 millions pour le chauffeur, nommé « Jab Allah », un transporteur illégal travaillant dans le domaine de la plomberie au sud.
La même instance judiciaire a condamné l’accusé en fuite, nommé « Gh. Fethi », par contumace à la même peine, avec confirmation d’un mandat d’arrêt corporel à son encontre, tout en acquittant deux autres accusés détenus, en l’occurrence « Joud » et le nommé « Allal », des charges qui leur étaient imputées, car ils sont des parents de la famille de l’épouse du président Tebboune, d’origine tunisienne.