La transformation et le succès du secteur de l’énergie en Afrique reposent sur le fait que les femmes jouent un rôle de premier plan dans le développement du secteur, et la Semaine africaine de l’énergie garantira que les femmes occupent la place qui leur revient à la table mondiale de l’énergie.
Le succès énergétique de l’Afrique sera déterminé par le rôle que les femmes jouent dans le développement du continent, non seulement en tant que participantes mais en tant que leaders et contributeurs notables. Pendant des décennies, les femmes ont joué un rôle désengagé, l’inégalité, les obstacles à l’entrée et le manque d’inclusion à tous les niveaux de l’échelle professionnelle entravant des progrès effectifs. Maintenant, le monde a réalisé le rôle que les femmes jouent dans le développement de l’Afrique, et ainsi, nous avons vu une augmentation du nombre de femmes menant la transformation du continent.
Promouvoir le rôle que jouent les femmes dans le secteur de l’énergie en Afrique n’est pas un nouveau récit, et plutôt que de continuer avec un programme promotionnel, la Semaine africaine de l’énergie (AEW) 2021 au Cap va encore plus loin en s’attaquant directement aux barrières à l’entrée, en offrant des les solutions à adopter par les gouvernements, les entreprises et les décideurs politiques, et veiller à ce que les parties prenantes restent responsables des nombreuses déclarations faites. Le secteur de l’énergie comprenant l’une des industries les plus inégales au monde, AEW 2021 s’attaquera de front à ce problème, en proposant des stratégies essentielles pour accroître la participation des femmes.
Au cœur du manque de diversité et de disparité entre les sexes dans le secteur de l’énergie se trouvent les perceptions traditionnelles et culturelles concernant les rôles. Les barrières à l’entrée commencent dès le plus jeune âge, les femmes étant découragées de poursuivre dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM). L’industrie doit relever les défis de l’ensemble de la chaîne de valeur professionnelle. Pourtant, une fois que les femmes parviennent à terminer leurs études dans les STEM, de nouveaux obstacles apparaissent concernant la main-d’œuvre.
