Economie

Les sociétés énergétiques mondiales remplacent la Russie par l’Afrique !

Les sociétés énergétiques mondiales remplacent la Russie par l’Afrique !

L’Afrique, négligée depuis des décennies, a soudainement attiré l’attention des sociétés énergétiques internationales à la recherche de nouvelles sources d’énergie pour compenser les pénuries résultant des sanctions occidentales imposées à la Russie, l’italien « Eni », le français « Total », l’américain « Exxon Mobil », le néerlandais « Shell », le norvégien « Equinor », le britannique « Chariot », la Chinese National Petroleum Company et d’autres sociétés se dirigent désormais vers des investissements en Afrique, qui est considéré comme un… Il comprend 13 pour cent des réserves mondiales de gaz, 7 pour cent des réserves de pétrole, en plus des sources d’énergie renouvelables telles que le soleil, l’eau et le vent.

Certaines de ces sociétés avaient déjà projeté d’investir dans la production de gaz en Afrique, mais elles les ont arrêtés principalement pour des raisons de sécurité, Eni, par exemple, avait un projet de production de gaz naturel liquéfié en Tanzanie et au Mozambique, et Total avait un projet similaire au Mozambique, mais les deux sociétés ont arrêté de travailler sur ces projets, il existe des projets d’investissement similaires au Nigeria, au Sénégal et en Mauritanie, et ces projets pourraient ajouter 90 milliards de mètres cubes par an à l’offre mondiale d’ici 2030, selon des estimations scientifiques, les experts estiment que les deux gisements gaziers que la société italienne Eni développe actuellement en Libye, pour un coût de 8 milliards de dollars, ajouteront une quantité de 30 milliards de mètres cubes de gaz par an.

Les experts s’attendent à ce que la production totale de gaz attendue en Afrique compense à elle seule la baisse des importations de gaz russe de l’Union européenne, qui s’élèvent à 70 milliards de mètres cubes par an. Mais cela pourrait prendre plus de temps que les Européens ne peuvent le supporter, les entreprises internationales ont cessé d’investir en Afrique, en raison des activités subversives menées par des groupes extrémistes, tels que Boko Haram au Nigeria, et d’autres groupes (jihadistes) au Mozambique, en plus de la corruption et des taxes élevées imposées par certains gouvernements africains aux entreprises étrangères. , dans le but de collecter… De l’argent pour renflouer leurs caisses vides, ainsi qu’en raison de la lenteur des affaires dans ces pays, pour de nombreuses raisons.

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