Politique

Morts dans une attaque d’Al-Shabab contre une base militaire à la frontière somalo-éthiopienne

Morts dans une attaque d'Al-Shabab contre une base militaire à la frontière somalo-éthiopienne

Un certain nombre de victimes ont été tuées lors d’une attaque contre une base militaire à la frontière somalo-éthiopienne, aujourd’hui vendredi, par le mouvement « Al-Shabab », qui est lié au terroriste « Al-Qaïda », Al-Shabaab a revendiqué la responsabilité de l’attaque et a déclaré que ses combattants avaient envahi la base et tué plus de 100 policiers éthiopiens, alors que les responsables de la sécurité ont déclaré que des obus de mortier ont touché une base militaire à « Ato », suivis d’un affrontement avec des armes à feu.

« Nous avons reçu des informations selon lesquelles une confrontation armée a eu lieu entre Al-Shabab et la police de Liu ce matin autour d’Atto », a déclaré Mahmoud Aden, un responsable de la sécurité locale dans le village voisin d’Al-Burda, cité par l’AFP, il a ajouté : « Les terroristes ont tiré des obus de mortier avant le début de la confrontation directe », et que « les forces ont réussi à repousser les assaillants désespérés, et il y a eu quelques victimes, malgré le manque de détails dont nous disposons », cette attaque est la dernière dans la région lancée par le groupe militant depuis des semaines, ce qui a suscité des inquiétudes quant à la stabilité de la région frontalière, l’agence a cité le commandant de la sécurité dans la zone « Ato », Mudakir Mersal, que les militants ont utilisé des mortiers et de l’artillerie lors de l’attaque, qui a duré près de deux heures, et que les forces éthiopiennes ont répondu avec le soutien d’hélicoptères de combat.

Et les autorités somaliennes ont annoncé la semaine dernière avoir tué plus de 100 combattants du mouvement « Al-Shabaab », qui avaient traversé la frontière, le mouvement mène une insurrection depuis 15 ans contre le gouvernement fédéral somalien soutenu par la communauté internationale et une force de l’Union africaine représentant cinq pays africains, dont l’Éthiopie et le Kenya.

  Sources à Reuters : L'arrestation du président du Burkina Faso à l'intérieur d'un camp militaire

 

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