Politique

Le président de la République centrafricaine accuse l’Occident de déstabiliser son pays

Le président de la République centrafricaine accuse l'Occident de déstabiliser son pays

Le président de la République centrafricaine, Faustin-Archange Touadera, a accusé les pays occidentaux de maintenir délibérément son pays politiquement instable, quelques jours après sa rencontre avec le président français Emmanuel Macron.

Il a ajouté : « La République centrafricaine a été victime d’objectifs géostratégiques liés à ses ressources naturelles, et l’ingérence étrangère maintient sa nation et d’autres dans un état de dépendance, d’insécurité et d’instabilité », plus tôt, l’ancien président centrafricain, François Bozize, avait quitté le Tchad pour la capitale de la Guinée, Bissau, avec la médiation des États-Unis d’Amérique, le site d’information tchadien Al Wahda a indiqué que l’ancien président centrafricain, François Bozizé, avait quitté la capitale tchadienne, N’Djamena, le 3 mars pour la capitale de la Guinée-Bissau, à la demande des États-Unis et avec un accord avec le Président tchadien, Mohamed Idriss Deby, l’ambassadeur américain à Bangui avait démenti il ​​y a quelques jours que les Etats-Unis aient négocié avec le Tchad pour expulser l’ancien président centrafricain, mais le site « Unité » a précisé que cette initiative vise à limiter l’activité du groupe armé dirigé par Bozizi, et assurer ainsi la stabilité sécuritaire en Centrafrique afin que cette dernière se passe du soutien de la Russie.

Le Premier ministre de la République centrafricaine, Felix Molloa, a déclaré, dans une interview accordée à « Spoutnik » plus tôt, que son pays pourrait avoir besoin d’un plus grand nombre d’entraîneurs militaires russes, en plus de l’équipement militaire et de la préparation d’un cadre militaire national pour mettre fin aux actions des groupes armés rebelles, conformément aux revendications de la République centrafricaine, des soldats de la République centrafricaine et des soldats du groupe de mercenaires russes Wagner ont également été accusés d’horribles violations des droits de l’homme, ce qui a entraîné des sanctions de l’Union européenne contre certains des principaux mercenaires du groupe travaillant dans le pays.

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