Le bureau sous-régional de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) pour l’Afrique de l’Est et Agricycle Global Inc. ont convenu de travailler ensemble pour encourager les groupes de jeunes au Kenya, et les réfugiés et les communautés d’accueil en Ouganda dans le développement des chaînes de valeur des fruits et légumes, les domaines de collaboration comprennent le développement des capacités des jeunes sur le développement de la chaîne de valeur des fruits et légumes ; des normes de sécurité et de l’agro-industrie liée aux fruits et légumes ; documentation des modèles commerciaux d’autonomisation des jeunes; transfert de connaissances et de compétences pour l’adoption de technologies et d’équipements pour le séchage des fruits ; et la publication des meilleures pratiques.
Grâce à cet accord, les bénéficiaires ciblés amélioreront leur accès au marché, ainsi qu’aux technologies, telles que les séchoirs/déshydrateurs solaires, et bénéficieront de formations de renforcement des capacités sur le contrôle de la qualité de leurs produits. Ces interventions les aideront à terme à améliorer leurs revenus et leurs moyens de subsistance, en contribuant à un emploi rural décent (pour les jeunes) et à la réduction du gaspillage et des pertes alimentaires, en signant l’accord, David Phiri, Coordonnateur sous-régional de la FAO pour l’Afrique de l’Est et Représentant auprès de l’Union africaine et de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique, a noté que l’emploi des jeunes dans le secteur de l’alimentation et de l’agriculture dans la sous-région était un domaine d’intérêt clé étant donné que les jeunes constituaient une grande partie de la population.
« Afin de résoudre des problèmes tels que l’exode rural, le chômage et l’insécurité alimentaire et nutritionnelle, il est essentiel de s’engager et d’investir dans la jeunesse, et c’est une priorité pour la sous-région. À cet égard, une collaboration avec Agricycle Global Inc. apporterait une valeur ajoutée compte tenu de son modèle commercial unique et de sa présence locale dans les zones ciblées par les projets de la FAO », a souligné Phiri.
